Germanopratisme
Par David Monniaux le vendredi, août 26 2011, 08:45 - Recherche scientifique - Lien permanent
Cet article est édifiant : soit qu'il dénonce une imposture réelle, soit qu'il soit le signe d'un jaloux.
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Par David Monniaux le vendredi, août 26 2011, 08:45 - Recherche scientifique - Lien permanent
Cet article est édifiant : soit qu'il dénonce une imposture réelle, soit qu'il soit le signe d'un jaloux.
Commentaires
On me confirme que ce garçon passe auprès de ses camarades pour un type insupportable qui s'écoute parler, ne cherche que la gloire mondaine y compris (et surtout) au détriment de toute rigueur intellectuelle, et qu'il est foncièrement méprisé.
@RM: De deux choses l'une, soit il va se cramer précocement, soit il va monter et avoir son émission sur France Culture. :-)
C'est assez idiot de ne pas l'avoir nommé vu qu'il doit être très facilement identifiable. Je déteste le pseudo-anonymat de ce genre.
@Ruxor: Cela évite sans doute qu'on ne puisse tomber directement sur cette description en tapant son nom dans Google... et en cas de poursuites pour diffamation, même si celle-ci est possible contre des individus non explicitement nommés mais reconnaissables, l'auteur de l'article pourra plaider que seule une infime minorité, déjà au courant, pourrait relier la personne visée aux faits évoqués, alors qu'avec un nom explicitement indiqué, tout le monde le peut.
Un truc que je comprends pas. S'il enseigne à l'ENS, pourquoi ne peut-il pas se dire "enseignant à l'ENS" ?
De même s'il est doctorant au CNRS, ne peut-il pas dire qu'il est chercheur au CNRS ?
L'apprenti boulanger fait bien le métier de boulanger... non ?
@Argos: D'habitude, quand on dit « chercheur au CNRS », on veut dire « chargé de recherche au CNRS » ou « directeur de recherche au CNRS », qui sont des positions permanentes qui exigent habituellement un haut degré de compétence et une certaine expérience.
Bien sûr, un doctorant qui est dans un laboratoire dont le CNRS est une tutelle peut, d'un certain point de vue, être considéré comme chercheur au CNRS, mais ce n'est pas la terminologie usuelle. Quant à « enseignant à XXX », cela peut recouvrir aussi bien un professeur qui fait des cours de haut niveau, est responsable de module ou de filière, etc., qu'un vacataire qui fait quelques heures de travaux pratiques d'apprentissage de Word...
Quant à la comparaison avec les boulangers, j'en ai une autre : il me semble qu'on ne confond pas les élèves-officiers avec les officiers !
Faudra que je fasse attention alors, je ne dirais plus que je suis enseignant en grande école alors (je disais surtout ça pour éviter les longues discussions comme quoi je suis étudiant, mais aussi salarié, que je ne suis pas de cours mais que je donne des cours, mais que je ne suis pas prof, etc.). M'enfin, je ne le mentionne pas dans les journaux.
Par contre, il y a une clause dans mon contrat qui stipule que je ne dois pas mentionner mon appartenance à l'école en dehors de mon rôle officiel au sein de l'école.
@Argos: Quel établissement, si ce n'est pas indiscret ?
ben c'est pas indisicret, mais ça va à l'encontre de son contrat! héhé.